Certification CETAC
AVANT de vous décider,
Acquérir un animal est un engagement, soyez responsable. Anticipez la gestion de vos vacances (petsitter / famille / pension ?), l'arrivée d'un bébé ? Le chaton est éduqué pour s'attacher à sa famille : méritez-vous cet attachement ? Serez-vous digne, chaque jour, de la confiance que ce petit être mettra en vous ?
Si oui, la suite vous concerne. Si non, pour le prix de ce chaton, offrez-vous un chouette voyage, c'est bien aussi !
Un chaton est un JEUNE être sensible, dont l'éducation n'est pas terminée à son arrivée chez vous.
Il VA faire des bêtises, c'est inévitable.
Si votre tolérance aux désagréments est... faible, réfléchissez et optez pour un voyage ou un abonnement à un club de sport, ou... une peluche.
Voyons déjà ces situations :
- imaginez que Chaton a décidé de dormir avec vous : quelle résistance avez-vous lorsque vous dormez ? Sachant que si vous bougez, il va s'empresser de réclamer plus de câlins, ou pire, croire que vous êtes OK pour une bonne partie de jeu ! Et si vous fermez la porte de votre lieu de repos pour en interdire l'accès à Chaton, attendez-vous à ce qu'il gratte à la porte avec un entêtement absolument remarquable... Cela vous paraît-il compatible avec votre façon de vivre ?
- comment réagissez-vous aux petits tracas de santé ? genre une crotte restée accrochée dans les poils de la culotte, ou... un câlin juste après être sorti de la litière ? ou le matin, quand votre pied se pose sur une flaque de vomi ?
- quid des bouloches de poils qui ne manqueront pas de se former sur quelques textiles ? et des "moutons" de poils ici ou là ? Des croquettes, renversées hors du bol ? de la litière à nettoyer ?
- et le bruit ? ( j'ai été contactée par une famille en stress parce que la nuit, la petite minette jouait et faisait du bruit en courant sur le parquet... une autre s'angoissait parce que, quoique très sage sur le lit, le chaton ronronnait, de contentement, et cela les empêchait de dormir)
Si ces éléments peuvent être source de stress ou de tracas pour vous, réfléchissez à vos attentes : un chat, c'est une belle aventure, mais il faut savoir que cela va changer des choses chez vous. De moindre façon que l'arrivée d'un bébé, mais ça peut s'en rapprocher par moment !
Cet article tente de faire une synthèse des conseils disponibles sur l'ensemble du site, et espère répondre à l'obligation légale d'information des familles avant l'acquisition d'un chaton. La loi tente de pallier l'absence de maturité de certaines personnes qui "veulent un chat" (un micro-onde, une Wii...), mais n'ont pas fait l'effort de se renseigner avant.
Ce document est amené à évoluer. Il n'est pas libre de droit, merci de me contacter si vous souhaitez l'utiliser. Et si vous le rencontrez sur le site d'une autre chatterie sans renvoi à cette page, merci de m'en informer.
Informations préalables à la cession d’un chaton de race sibérienne
chatterie Playcat
Vous allez vous engager à prendre soin, toute sa vie durant, d’un chaton. Ce chaton va avoir besoin de vous, de votre attention bienveillante, de votre affection, pour devenir un chat adulte sain et agréable à vivre.
Avant de vous engager, vous devez avoir conscience :
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De ce qu’implique l’entretien d’un chat sur un plan financier
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De l’éducation et des soins à lui prodiguer.
Première partie : coût de l’entretien de votre chat :
1. les coûts liés à l'arrivée du chaton :
Il vous faudra investir dans quelques objets nécessaires ou utiles :
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Le bac à litière :
il est indispensable, et doit correspondre aux besoins de votre chat : il doit être assez grand pour que le chat, adulte, puisse se tenir dedans sans inconfort. Si le chat préfère un bac ouvert, ou un bac fermé, il convient de respecter cette préférence. Selon les modèles, cet achat représente un budget de 10 à 50 €. -
La caisse de transport :
indispensable également, pour emmener le chat chez le vétérinaire par exemple. Il vous en coûtera une vingtaine d'euros en premier prix, selon la taille (un sibérien adulte ne peut pas se contenter du plus petit modèle, il faut au moins la taille "M" ou "II"). Idéalement, choisissez-en une facile à démonter (avec des poignées, pas les petites tiges). Comptez alors 30 à 40 €. -
Le griffoir et/ou l’arbre à chat :
L'arbre à chat est optionnel, mais souhaitable surtout les premiers mois pour que votre chaton puisse se dépenser physiquement. Les prix varient de 30 à 400 €, selon la taille de la structure et la qualité des matériaux.
Un griffoir est indispensable : il faudra veiller à ce qu’il corresponde aux préférences du chat (position de griffade horizontale ou verticale ? matières ? emplacement : inutile de le mettre dans un recoin, les griffades ont un rôle social et se doivent d’avoir lieu « sur la place publique »). Un budget de 10 à 50€ est à prévoir. -
Les écuelles (aliment et boisson)
Elles doivent être en matière neutre, lavables : il est conseillé d’éviter les matières plastiques ou le métal. La céramique ou le verre sont adaptés, à choisir dans une forme assez peu profonde permettant au chat de manger / boire confortablement, ce qui représente un achat de 5-10 €.
Au sujet de la boisson, le chat est un animal qui boit naturellement peu, mais dont les reins sont sensibles : il est conseillé d’inciter son chat à boire régulièrement. Une fontaine à eau (30 €) est fortement conseillée. Que l’eau soit présentée en écuelle ou en fontaine, elle doit être propre, changée idéalement chaque jour. -
Les brosses :
selon le type de fourrure de votre chat, elles peuvent coûter entre 10 et 50 €. Nous vous conseillons une étrille de type Furminator taille S (40 €), très efficace en période de mue et adapté à la fourrure des Sibériens adultes.
Une autre source de coûts peut être la mise en sécurité de votre domicile :
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Avant l’arrivée de votre chaton, fenêtres et balcons doivent être sécurisés, soit par un filet de protection, soit par tout autre moyen convenant à la situation. Les ouvertures oscillantes sont réellement dangereuses : le chat peut rester coincé dans le V, et en mourir, broyé sous l'effet de son propre poids.
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Soyez vigilants quant aux plantes vertes : une liste des plantes toxiques est disponible sur internet, veuillez prendre le temps de vérifier si les plantes de votre logement ne représentent pas de danger pour votre chat.
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Les produits ménagers ou dangereux doivent être hors de portée de votre chat. De même quand vous lavez les sols, restez attentif au dosage du produit et/ou au fait que le chat marche sur le sol mouillé puis lèche ses pattes : une intoxication est possible.
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Certains de nos aliments/médicaments sont toxiques pour le chat ; les plus connus sont les oignons, le chocolat et surtout le paracétamol. Consultez votre vétérinaire avant de donner un médicament issu de la médecine humaine à votre chat. Empêchez votre chat de s'approcher d'un comprimé ou d'un verre contenant du paracétamol (l'effervescence peut l'attirer, et il peut mettre la patte pour toucher les bulles et se lécher ensuite : cela suffit à empoisonner gravement votre chat !)
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Protégez les câbles électriques en les plaçant hors d’atteinte de votre chat, ne laissez pas votre chat jouer avec les cordons d’alimentation.
Cette mise en sécurité n’est malheureusement pas chiffrable.
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La stérilisation de votre chat : cet acte chirurgical, s’il n’est pas obligatoire, offre à votre chat et à vous-même un bien-être certain ; libéré de la pression hormonale, votre compagnon n’en sera que plus affectueux envers vous.
Attention, les chaleurs à répétition sont dangereuses pour la santé de votre chatte, et certaines pilules toxiques dès les premières prises. La stérilisation vous coûtera entre 50 et 150 € selon votre vétérinaire et le sexe de votre chat (50-90 € pour un mâle, 80 à 150 € pour une femelle).
Le budget de préparation à l’arrivée de votre chaton peut donc avoisiner les 150 €, auxquels il faut rajouter la stérilisation. Par la suite, l’entretien de votre chat induira des frais réguliers . Il est rappelé qu’un chat vit en moyenne 12 ans dans de bonnes conditions et sans incidents, aussi ce budget est-il amené à être engagé chaque année de la vie de votre chat :
2. Les coûts réguliers :
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L’alimentation :
on compte en moyenne 50 à 60g de croquettes par jour et par chat adulte, ce qui représente entre 1.5 kg et 2 kg d’aliment sec par mois. Nous vous conseillons de choisir des croquettes de bonne qualité (Virbac, ProPlan, Hill’s, Royal Canin, …) elles sont certes plus chères que les croquettes disponibles en supermarché, mais elles entraînent moins de problèmes rénaux que les croquettes de moins bonne qualité, et un rapide calcul vous convaincra qu'éviter des frais vétérinaires vaut le surcoût que ces marques imposent.
Je déconseille les croquettes "sans céréales" qui remplacent ces céréales par des pois, de la patate douce et/ou des pommes de terre = cela occasionne des modifications du pH des urines et favorisent les cristaux urinaires (et ça peut devenir vite grave, expérience vécue !!!).
Les croquettes représentent un budget mensuel de 20 € environ, soit 240 € annuel.
Le "BARF" et le RAW-FEEDING se développent désormais. Ce sont des modes d'alimentation très respectueux de l'animal, mais une telle alimentation présente des risques (carences, occlusions, gastro-entérites) Donc "oui", c'est une bonne alimentation, mais soyez vraiment rigoureux sur le long terme.
Il n'est pas possible de chiffrer ce type d'alimentation, trop dépendant de votre source (tout prêt en barquette ? ou achat en groupe ?).
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La litière :
prenez conscience que la litière de votre chat nécessite un entretien régulier, si possible quotidien ; nous vous conseillons d’éviter les litières longue durée : les bactéries, microbes et virus, champignons… stagnent même si à l’odeur et à la vue, on trouve la litière « propre ».
Nous vous conseillons d’utiliser une litière premier prix, mais fréquemment entretenue (nettoyée chaque jour et renouvelée totalement 2 fois par semaine). Une astuce consiste à couvrir le fond du bac d’un sac poubelle, vous permettant de jeter facilement la litière sale. Ce type d’entretien revient à 2 € par semaine par bac, soit 110 € sur l’année.
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Les frais de garde si vous partez en vacances : selon les possibilités (chez un membre de votre famille / en pension extérieure / visite à domicile d'un(e) petsitter), comptez de rien à 12-15€ par jour. Les services de visite à domicile se développent, et sont tout à fait adaptés au fonctionnement du chat. Pour la mise en pension (souvent pour des périodes longues), prévoyez de maintenir une bonne vaccination.
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Les frais vétérinaires « de routine » :
sur l’année, il faudra vermifuger votre chat au moins deux fois (davantage la première année), le déparasiter (puces et tiques) s’il sort, et lui faire un bilan de santé annuel assorti des rappels de vaccination. En moyenne, cet ensemble peut être estimé à 200 €
Hors frais de santé non prévisible, le budget annuel moyen avoisine 500/600 €, en gardant une réserve complémentaire pour faire face à toute intervention vétérinaire nécessaire. Un chat vieillissant demandera davantage de suivi vétérinaire, et/ou une alimentation particulière : le budget peut donc évoluer au cours de la vie de votre chat
En prenant un animal, vous vous engagez devant la loi à en être responsable et à en assurer la bonne santé : « l’acquéreur s’engage à détenir l’animal dans des conditions compatibles avec ses besoins biologiques et comportementaux et lui donner des soins attentifs conformément aux obligations légales prévues aux articles L. 214-1 à L. 214-3 du code rural et de la pêche maritime. »
Seconde partie : Education et soins à dispenser à votre chaton
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Eduquer le chaton :
Pour vivre en bonne harmonie avec votre compagnon, vous devez en connaître les besoins et les capacités.
Un chat peut s’éduquer (venir à l’appel, respecter un interdit), mais ne sera jamais « obéissant » : il va chercher son intérêt propre, pas le vôtre : ce n’est pas un chien.
C’est donc à vous de faire en sorte que son intérêt (manger, être en sécurité, être choyé, satisfaire son besoin d’activité et sa curiosité) coïncide avec le vôtre, par des récompenses (friandises, parties de jeux et de câlins, observation de vos activités – appelez-le quand vous bricolez, cuisinez… il adore regarder) quand son comportement est adapté.
Les sanctions faisant acte de violence (cris, coups, morsures, secousses, nez dans les excréments, …) sont particulièrement inadaptées au niveau de compréhension du chat ; cela ne fera que générer peur, stress et anxiété, voire agressivité.
Le comportement adapté est une fermeté cohérente (ce qui est interdit un jour l’est tout le temps, il faut que le chat n’ait aucun doute sur ce qui est interdit), patiente et vigilante.
Les « sanctions » peuvent être : un arrêt (immédiat) du jeu ou des câlins en cours, un doigt sur le nez (sans coup) comme le ferait une mère avec ses chatons, un « feulement » façon chat si le « non » n’est pas compris.
Vous devez prendre en compte que par sa nature, un chat ne peut comprendre qu’un minimum d’interdits (2, 3 guère plus) : il vous faut bien réfléchir à ceux que vous voulez voir respectés (habituellement, ne pas mordre, ne pas griffer les humains, acquis en théorie pendant son sevrage chez son éleveur, puis ne pas… monter sur la table pendant les repas, … se faufiler à l’ouverture d’une porte, … ).
Pour le reste (ne pas faire ses griffes sur les meubles / la tapisserie ; …) il vous faudra ruser pour lui offrir « mieux » là où cela ne vous dérangera pas (par exemple, faire ses griffes est un besoin physiologique, comme uriner, manger, dormir : cela se fait de préférence à un endroit stratégique bien visible : placez un griffoir attirant au bon endroit, rendez le « mauvais comportement » désagréable par une intervention ferme et proposez le griffoir, et votre canapé sera sauvé).
Votre chat ne peut pas non plus comprendre une bêtise s’il n’est pas pris sur le fait. Inutile de le gronder parce qu’il a griffé le fauteuil en votre absence, il ne fera pas de lien entre le fauteuil griffé et votre colère.
2. Soigner votre chaton :
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Physiologiquement, sa température corporelle avoisine les 38,5° (39° pour un chaton de quelques semaines), on peut sentir la fièvre en touchant les zones « froides » du corps (nez et oreilles) : si elles paraissent chaudes, la prise de température rectale est indispensable. Les conseils d'un vétérinaire sont indispensables en cas de fièvre, vomissements, diarrhées, blessures, boîteries, douleurs, abattement général, mauvais état...Attention, l'hypothermie (en-dessous de 37) est mauvais signe et doit vous alerter !
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Le poids moyen d’un sibérien adulte est de 5 à 7 kg pour les mâles, et 3 à 5 kg pour les femelles. Mettre un Sibérien au "régime" sans discussion préalable avec un vétérinaire, et sans tenir compte du poids moyen de la race peut être préjudiciable à votre animal.
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Votre chat a des besoins "de base" :
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Etre propre :
en général , il aime être brossé. Sa fourrure doit être entretenue, soit qu’il s’en occupe lui-même, soit que vous l’aidiez. Un chat sale est un chat malade ou stressé, consultez votre vétérinaire.
Le bain n’est pas indispensable, sauf si problème le rendant nécessaire ; certains chats aiment l’eau. Veillez, si le bain est incontournable, à éviter les projections sur le visage, et réglez la température autour de 38°.
En période de mue (printemps / automne), proposez lui des brossages réguliers et un laxatif alimentaire pour aider l’évacuation des boules de poils qui se forment dans son tube digestif quand il se toilette.
Cela inclut aussi le fait de disposer d’une litière propre pour ses besoins ; un chat qui fait ses besoins hors de la litière est un chat qui ne va pas bien : soit la litière pose problème (matériau, odeur, emplacement inadapté), soit il est malade (cystite, diarrhée), soit il est anxieux (et urine pour mettre son odeur et se rassurer).
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Dormir, en sécurité :
on ne dérange pas un chat qui dort (ou pas souvent) : dormir est un besoin primaire pour lui, et si on peut lui faire une caresse en passant, il est conseillé d’attendre qu’il s’éveille de lui-même. Il doit disposer d’un coin où il se sente bien, hors de portée… des enfants, du chien...
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Être nourri selon ses besoins :
un chat est un carnivore strict, contrairement au chien. Les croquettes industrielles ont des inconvénients (teneur élevée en céréales, peu digestes, allergies), mais offrent cependant un bon équilibre de la ration (protéines, ratio calcium et phosphore, minéraux).
Il existe désormais des marques proposant des aliments de haute qualité, sans céréales. Attention aux croquettes bas de gamme, qui peuvent occasionner des dommages aux reins.
BARF et RAW-FEEDING se développent désormais ; des barquettes toutes prêtes sont proposées si vous ne vous sentez pas de gérer les équilibres phospho-calciques et autres apports des rations. Nos chatons sont habitués à manger des croquettes et de la viande crue : vous pouvez choisir sans tracas de rester aux croquettes ou au raw ou de mixer les deux, mais essayez d'éviter une pause car le chaton pourrait perdre l'habitude de manger tel ou tel type, et le réadapter ensuite pourrait ne pas être simple.
La croissance du Sibérien se poursuit jusqu’aux 3 ans de l’animal : il est conseillé d’en tenir compte dans la ration quotidienne sans pour autant le laisser aux croquettes "chaton" pendant 3 ans (seulement la 1ère année).
En général, sauf tendance à la boulimie, un chat se régule de lui-même, de sorte qu’on peut laisser un accès aux croquettes à volonté. En cas de boulimie (signe de malaise et/ou d’ennui), il existe des distributeurs que le chat doit activer (genre tour-labyrinthe ou boule distributrice comme le Pipolino).
Si votre chat boude au contraire ses croquettes, essayez plusieurs marques, plusieurs tailles (mes chats aiment les grosses croquettes, type "maine coon"), voire un mélange. Vous pouvez saupoudrer de la levure maltée ou des probiotiques (Fortiflora par ex), qui sont appétants.
L’alimentation humide (boîtes, pâtées) est envisageable si elle est supportée sur le plan digestif. Attention cependant : les croquettes ont l’avantage de permettre à votre chat de nettoyer la plaque dentaire ; s’il est nourri essentiellement à la pâtée, il vous faudra vous assurer régulièrement de la bonne hygiène buccale de votre chat.
Dans tous les cas de changement d'alimentation, la modification doit être progressive (sur plusieurs jours : une semaine est un bon délai), avec une augmentation graduelle de la proportion du nouvel aliment dans l'ancien.
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Etre sollicité :
le chat est un animal actif (entre deux siestes), curieux : il a besoin de se dépenser, et de faire fonctionner son cerveau. Vous êtes responsables de son environnement, qui doit lui offrir de quoi "vivre". Les jeux (plumeaux, canne à pêche, balles...) ne sont pas une option mais une nécessité aussi longtemps que votre chat répondra à vos invitations, et comme le jouet ne bouge pas seul, c'est à vous de le manier.
En votre absence, vous pouvez cacher des friandises que le chat cherchera (sous un tapis, derrière un meuble...). Il existe aussi des jouets avec programmateur qui se mettent en route de façon aléatoire. Pensez également à ménager des espaces en 3D avec des possibilités pour votre chat de se poster en hauteur.
Un chat heureux est un chat interactif, intéressant et attaché à vous : ce que vous "investissez", vous le retrouvez !
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Être respecté :
un chat n’est pas une peluche, c’est un être vivant doté d’une volonté propre.
Il annonce généralement sa satisfaction par des frottements et des ronronnements. Et son insatisfaction par… des coups de langue sur la main insistante, un mouvement battant de la queue, des sons dissuasifs, rauques, des mouvements de fuite (avec ou sans griffes sorties), et si tout cela est inefficace, des coups de dents (plus ou moins sévères) ou de griffes.
Sauf exception, un chat bien éduqué n’est pas agressif, mais il peut le devenir si son entourage ne lui offre pas d’autres possibilités.
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L’acquéreur certifie avoir lu et compris les termes de ce document.
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Nom, prénom et signature, précédés de la mention manuscrite « lu et approuvé » :